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| Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » | |
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Marian McNeil
Messages : 12 Date d'inscription : 24/08/2009 Pseudonyme : Freya
| Sujet: Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » Lun 24 Aoû - 14:08 | |
| Marian Abigaël Rose McNeil* âge : 17 ans année d'étude : Septième année date de naissance : 14 août 1980 lieu de naissance : Edimbourg origines & pureté : Sa famille paternelle est, d’aussi loin que remonte l’arbre généalogique gardé religieusement dans la bibliothèque familiale, écossaise. Vieille et noble famille qui est bien évidemment de sang pur ; enfin au moins pour la branche aînée. Marian sait qu’il existe quelque part dans le pays une branche cadette qui s’est fourvoyée en salissant le sang si précieux des McNeil. Pour ce qui est de sa mère, elle est originaire de Scandinavie. Norvège pour être plus précis. Elle est aussi issue d’une lignée de sang pur mais d’une famille moins bien prestigieuse que son mari. orientation sexuelle : Hétérosexuelle situation amoureuse : Célibataire orientation magique : C’est très difficile de se prononcer sur ce cas. Elle choisira ce qui lui permettra de servir ses intérêts ; ceci dit, disons qu’elle penchera plus vers le côté lumineux des mangemorts et de la magie noire. don spécifique : Aucun qu’elle ne connaisse pour le moment « Le passé est un prologue » * • Un avis extérieur
« Que voulez-vous que je raconte sur Marian ? Je suis incapable de faire son portrait tant physique que psychologique. En fait, je crois que personne ne pourrait le faire. Elle est trop… Marian pour cela. Mais si vous insistez, je peux vous renseigner sur son histoire. Enfin, de ce que j’en sais »
Fait important, ses parents se sont mariés par amour. Ce qui, croyez-moi, est un cas rare dans de telle situation. Les McNeil ont toujours veillé à ce que leur lignée reste pure. A travers les siècles, ils ont usé de tant de stratagèmes pour être fier de leur origine ; ils n’ont pas hésité à « bannir » l’un des leurs qui avaient contracté un mariage peu recommandable. Bref, son père avait fait parti d’une délégation sorcière à but politique dans les pays de l’Europe du nord. C’est à cette occasion qu’il a rencontré celle qui allait devenir sa femme. Deux années plus tard, naquit Marian.
Toute la famille était heureuse d’une telle naissance à commencer par la branche paternelle. Un enfant, de n’importe quel sexe, était un héritier qui allait perpétuer le sang des McNeil. Mais, sa mère n’était pas du même avis. Elle eut ce que les moldus appellent un ‘baby blues’. Elle ne s’intéressait nullement à son enfant et n’avait qu’une seule envie : recommencer à apparaitre dans les soirées et s’amuser. Sauf que cette période dure depuis bientôt dix-huit ans. Comme vous l’aurez compris, Marian n’a jamais eu la preuve de l’affection de sa mère. Ce n’est pas forcément un mal croyez-moi. Dès sa plus tendre enfance, c’est son père qui l’éduqua lui montrant une affection sans borne. Elle ne fut pas pourrie-gâtée comme d’autres enfants de sa catégorie sociale, j’ai veillé au grain. Néanmoins, elle fut élevée avec des principes qui sont, de mon point de vue, un peu trop… élitiste. Vous savez ces principes qui veulent que les sang-pur soient supérieurs, que la magie ne devrait être pratiquée que par ces personnes et j’en passe. Mais elle faisait partie de cette classe et il était évident pour elle que cela était naturel.
Elle ne manqua de rien jusqu’à ses onze ans, la fortune de son père pourvoyait largement à ses envies. Mais elle eut une enfance assez solitaire. Elle resta fille unique et ses interactions sociales étaient très limitées. Cependant, elle ne s’en formalisa pas. Elle développa une imagination qui pallia à ce manque et se découvrit une passion pour les études en général qui expliqua ses résultats à Poudlard.
Je ne me rappelle pas vraiment de l’arrivée du hibou l’invitant à Poudlard. Je crois que c’était un mercredi début août. Marian était en train de jouer aux échecs avec son père alors que j’entretenais le jardin il me semble. Le hibou s’est posé calmement sur le plateau alors qu’elle criait sur un cavalier qui n’en faisait qu’à sa tête. Si ces circonstances sont un peu floues dans ma mémoire, je me souviens exactement de sa réaction. Elle a pris le parchemin et après l’avoir parcouru, elle l’a replié et mis dans la poche de son pantalon. Puis elle a continué sa partie comme si de rien n’était. Réaction trop mature pour une aussi jeune fille mais naturelle lorsqu’on pense qu’elle a été élevée seule. Je l’ai aidée à faire sa valise pour l’école. Si elle était heureuse, elle ne l’a pas montré ; si elle était triste de quitter son foyer, elle ne l’a pas montré non plus. Mais elle n’est pas d’une nature bavarde. Lorsqu’elle revient pour les vacances de Noël la première année, j’ai senti que quelque chose avait changé en elle. C’était imperceptible les premières fois mais, au fur et à mesure de son éducation magique, cela devient plus tangible. Elle s’épanouissait doucement au contact d’autres élèves. Je ne connais pas sa vie au château mais aujourd’hui, elle entre en septième et dernière année et je suis fière de ce qu’elle est.
« Tout ce que je vous ai dit reste entre nous ? Je ne veux pas avoir de problèmes, moi. Par les temps qui courent on ne sait jamais à qui se fier. »
• Extrait d’un journal
« Discrète plutôt que froide. Je suis quelqu’un de discret. Je n’aime pas me mettre en avant, mais je n’aime pas rester en arrière non plus. Si les caractères étaient linéaires et sans aucune surprise, la vie serait bien morne. Si vous m’avez connu avant mes onze ans, alors il faut que vous sachiez que j’ai bien changé. » (19/12/1996)
« Lorsque j’ai reçu la lettre de Poudlard, j’ai été libérée. J’avais hâte de partir de ce manoir. Pas que je me sentais emprisonnée, loin de là ; mais j’avais l’impression d’avoir fait le tour de ma courte existence. Avec le recul, j’avais tort : je ne connaissais encore rien à la vie, mais mon père m’y avait bien préparée. Le choixpeau m’a envoyé à Serpentard : audacieuse et ambitieuse qu’il avait dit. Mais je suis plus que ça, tellement plus. Mon père était ravi, lui aussi était passé par cette maison. Cela ne m’a pas empêché de rester quelques temps loin de mes semblables. Quelqu’un a dit qu’il fallait mieux connaitre ses amis que ses ennemis, il a probablement raison. » (14/10/1992)
« Je parle peu de ma mère. C’est normal, je ne la vois que dans de rares occasions : aux anniversaires, pour Noël, lors des réceptions et quelquefois au détour d’un couloir pendant les vacances d’été. Je ne lui en veux pas pour ce manque d’affection de sa part. Quelque part, je la comprends. En fait, elle n’a jamais véritablement grandi et me voir grandir doit lui rappeler qu’elle vieillit inexorablement. Mais cela ne signifie pas qu’elle est froide avec moi ou qu’on ne se parle jamais. Elle ne m’a jamais prise dans ses bras, elle n’a jamais veillé sur moi lorsque j’étais malade, mais elle a toujours été fière de moi. C’est ce qui importe le plus. Malgré tout, je l’aime. J’aime sa façon de rire lorsque je lui raconte les dernières bêtises de l’école. J’aime la façon dont elle se comporte en société. J’aime le timbre de sa voix lorsqu’elle essaye de disputer Martha notre gouvernante sans vraiment y arriver. J’aime l’étincelle qui brille toujours dans ses yeux. Oui, c’est ma mère quand même : comment peut-on détester une personne de sa famille ? » (13/07/1998)
« Jamais totalement devant, jamais au dernier rang. Je suis néanmoins une élève douée moins que certains qui passent leur vie à la bibliothèque. Ma force vient du fait que je n’ai pas besoin de passer des heures là-bas. D’ailleurs, je déteste cet endroit. Trop froid, trop grand. Je préfère largement le moelleux d’un fauteuil devant une belle flambée. J’ai une capacité extraordinaire à enregistrer les informations que j’entends sans faire d’effort particulier pour les retenir. Alors mes révisions se limitent au minimum me laissant du temps pour développer d’autres talents que peu de personnes parmi mon entourage connait. Ce n’est pas que j’en ai honte mais c’est plutôt que je n’aime pas partager mes secrets. Je suis très prudente. Je n’en dis jamais trop sur moi et je n’accorde ma confiance qu’à des personnes que je connais véritablement. Je suis peut-être manipulatrice, sûrement à la réflexion. Mais je suis loyale. L’honneur envers ma famille et mes amis est très important pour moi. » (29/05/1997)
« Je n’aime pas porter de jupe ou de robe, est-ce de ma faute ? Jusqu’à présent, j’ai porté exclusivement des pantalons même pour les soirées. On peut être distinguée et féminine même en portant des pantalons, j’en suis la preuve vivante. Je porte l’uniforme masculin comme aucune ici. L’hiver, je l’agrémente d’une cape verte émeraude. Un des rares cadeaux de ma mère. Elle me tient chaud lorsqu’il faut se risquer dehors. Lorsque j’attache mes cheveux, on peut voir les deux boucles d’oreilles que je porte depuis mon entrée à Poudlard. Du côté gauche, une rose en argent dont les pétales sont rehaussés d’un violet profond. Du côté droit, un serpent en argent lui aussi dont les yeux brillent d’un éclat vert. Elles font références à mes préférences et j’aime à dire qu’elles signifient quelque chose, mais allez savoir quoi. Au début, personne ne faisait attention aux vêtements que je portais. Puis certains ont commencé à tiquer dès ma deuxième année. Les moqueries et les rappels à l’ordre, j’en ai connu mais depuis une ou deux années, elles semblaient s’être taries. Les réflexions ne me font plus aucun effet mais celle-ci s’est insinuée en moi comme du venin. Je le déteste, je le déteste de toute mon âme. » (24/04/1996)
« Je suis ambitieuse. Trop peut-être. Mais à mes yeux, ce n’est pas un défaut s’il est accompagné d’un peu de jugeote. Ce dont quoi manque certains de mes camarades Serpentards. Peut-on déshonorer à ce point une maison ? Quelquefois, je me demande bien ce que je fais toujours ici. Et en même temps que cette question se pose, je me souviens que pour réussir, il faut profiter des autres. Les forts doivent diriger et gouverner les faibles. J’entre dans ma dernière année, mais je ne sais pas ce que je vais faire ensuite. Mon père voudrait que j’entre au ministère, je pourrais le faire aisément et avoir une carrière plus qu’honorable ; mais j’ai besoin de plus, de beaucoup plus. » (31/08/1998)
âge : 20 ans temps de connexion : Au minimum un passage tous les deux jours. comment as-tu connu le forum et comme le trouves-tu ? Passage de lien. J’aime bien le design sobre et l’histoire a l’air prometteuse. votre personnage est-il un personnage vacant ? Non personnalité sur l'avatar : Lucie Griffiths « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » Georges Heinen « Le passé est un prologue» William Shakespeare
Dernière édition par Marian McNeil le Sam 29 Aoû - 21:57, édité 1 fois | |
| | | Kendall Baxter
Messages : 49 Date d'inscription : 15/08/2009 Pseudonyme : Devine. Playlist : Julien Doré, Les Bords de Mer. Humeur : Mauvaise.
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| | | | Marian McNeil
Messages : 12 Date d'inscription : 24/08/2009 Pseudonyme : Freya
| Sujet: Re: Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » Lun 24 Aoû - 15:25 | |
| Merci !
Oui, elle est finie ^^ | |
| | | H. Jean Carrington
Messages : 77 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Pseudonyme : gwn. Playlist : honey and the moon - joseph arthur. Humeur : better than yesterday, worse than tomorrow.
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| Sujet: Re: Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » Mar 25 Aoû - 17:59 | |
| Bienvenue : D
Alors, j'ai lu ta fiche et je dois dire que je la trouve vraiment bien. Organisée, bon style d'écriture et il n'y a quasiment pas de fautes d'orthographe - ce que j'apprécie énormément. Quant à la maison, eh bien, tu ne me laisses pas vraiment décider puisque tu inclus Serpentard dans ta présentation. Etant très intelligente et ambitieuse, personnellement je l'aurai plus vu à Serdaigle, dans un premier temps. Mais au fil de la présentation, il semble que tu sois aussi manipulatrice, donc je te laisse à Serpentard x) Et puis, ça semble important à tes yeux...
Bref, je laisse un admin t'ajouter au bon groupe, et puis tu peux ouvrir une fiche de liens : D
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| | | Marian McNeil
Messages : 12 Date d'inscription : 24/08/2009 Pseudonyme : Freya
| Sujet: Re: Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » Mar 25 Aoû - 18:16 | |
| Merci !
Pour la maison, pas spécialement ; peu m'importe en fait. Si Serdaigle convient mieux, il n'y a pas de soucis à ce que je change -ça ne prendra que quelques instants pour réécrire les parties concernées. | |
| | | H. Jean Carrington
Messages : 77 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Pseudonyme : gwn. Playlist : honey and the moon - joseph arthur. Humeur : better than yesterday, worse than tomorrow.
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| Sujet: Re: Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » Mar 25 Aoû - 18:23 | |
| Ne t'en fais pas, c'est bon : D Tu m'as convaincue pour Serpentard, bien qu'au début j'avais des doutes, à la relecture de la fiche il me semble que cette maison convient bien pour Marian : ) | |
| | | Marian McNeil
Messages : 12 Date d'inscription : 24/08/2009 Pseudonyme : Freya
| Sujet: Re: Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » Mar 25 Aoû - 18:24 | |
| Oki !
Maintenant direction les relations ^^ | |
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| Sujet: Re: Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » | |
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| | | | Marian Abigaël Rose McNeil, « Il faut être modeste. Modeste, mais hautain » | |
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